La France aime présenter l’Etat colonial israélien comme un modèle en matière de technologie ou de lutte antiterroriste. Malheureusement, cette image déformée par les médias et les hommes politiques épris d’amitié par Israël, cache une sombre réalité.
[Ne manquez plus aucune info et rejoignez vite HBK sur Facebook en cliquant ICI ! ]
En effet, selon une étude menée par la Croix Rouge Internationale portant sur 16 pays impliqués dans des conflits, l’Etat sioniste apparaît être le pays où la torture est la plus populaire auprès de l’opinion publique.
Parmi les pays soumis à cette analyse, il n’y a qu’en Israël, au Niger et aux Etats-Unis que la majorité des personnes sondées se sont déclarées favorables à la torture de combattants ennemis fait prisonniers. (En Israël, plus de 50 % pour, 25% contre et 25 % ont refusé de répondre).
Dans les autres pays où a été effectué ce sondage, les résultats suivants ont été obtenus de la part de la population : Yemen : 99 % contre, Colombie : 85 % contre, Suisse : 72 % contre, Chine : 71 % contre, France : 71 % contre, Syriens au Liban : 65 % , Russie : 62 % contre, Sud du Soudan : 56 % contre, Afghanistan : 56 % contre, Palestine : 53 % contre, Ukraine : 52 % contre, Irak : 51 % contre.
Sur la couverture du rapport de la “Croix Rouge Internationale” publié ce 6 décembre 2016, on aperçoit un homme sauvant un enfant des décombres. Une triste représentation d’un quotidien que l’Etat colonial israélien fait subir depuis plusieurs décennies, et, qui ne cesse d’inventer de nouvelles techniques de violence pour achever le processus d’extermination du peuple palestinien.
Eitan Felner, directeur de B’Tselem (Centre d’ information israélien pour les droits de l’homme dans les territoires occupés), a bien résumé le mode fonctionnement israélien:
« Amnesty International avait jadis établi que la torture est la seule forme de violence qu’un État niera toujours sans jamais oser la justifier. Israël a fait mentir Amnesty, c’est le seul pays au monde qui ait légitimé la torture tant du point de vue juridique que rhétorique. »
