D’après les recherches de William Langewiesche, ancien pilote et journaliste, le commandant Zaharie Amad Shah du Boeing 777, évaporé le 8 mars 2014, aurait délibérément fait tomber l’avion.
Le pilote du vol MH370, âgé de 55 ans, aurait souffert de dépression suite à sa séparation avec son épouse qui lui reprochait sa relation avec une hôtesse de l’air.
Selon plusieurs témoignages de personnes proches du pilote, celui-ci se serait senti « seul et triste » après la dite-rupture et serait tombé en dépression.
Le journaliste William Langewiesche, affirme que le pilote Zaharie Amad Shah se serait préparé activement à se suicider. Selon lui, faire écraser l’avion était un acte prémédité en vue mettre fin à ses jours.
Après avoir quitté l’aéroport de Kuala Lumpur en Malaisie, le pilote aurait dépressurisé la cabine du vol MH370 avant d’emmener l’ensemble des passagers, y compris lui-même, vers une mort certaine.
Pour justifier sa théorie, le journaliste se base sur des données recueillies par un système de radar et retrace les péripéties de la nuit du drame.
La théorie de William Langewieshe suggère que le pilote aurait soit immobilisé soit tué son co-pilote pour ensuite effectuer un déplacement sud-ouest non prévu et qui ne se serait pas fait sans la volonté humaine. Il aurait fait monter l’avion jusqu’à 12 000 mètres d’altitude puis dépressurisé la cabine pour enfin se cracher dans l’océan.
Mike Exner, ingénieur électricien, commente la théorie du journaliste et dit que l’ascension a effet permis d’accélérer le processus de dépressurisation. Il ajoute
Dépressuriser volontairement l’avion aurait été le moyen le plus simple – et probablement le seul – de contenir une potentielle rébellion des passagers s’apercevant que l’avion allait s’écraser
La théorie du journaliste s’ajoute à une série d’autres théories qui se sont cumulées ces dernières années depuis le crash du vol MH370 en mars 2014.
Nous rappelons qu’après plusieurs années de tentatives de localisation des restes de l’appareil, le gouvernement malaisien reste incapable de déterminer les causes du crash de l’avion ni ce qu’il en est advenu.
La seule certitude concernant cette affaire c’est que les 287 passagers du vol MH370 ne sont jamais arrivés à destination.