Pour le tout nouveau président algérien Abdelmadjid Tebboune, il existe et il existera toujours un amour et une amitié vivace entre les deux pays frères que sont l’Algérie et le Maroc.
Certes, il y a eu des événements qui ont causé la fermeture des frontières. Selon moi, il faut supprimer la principale cause du conflit et tout le reste suivra.
Lors d’une conférence de presse, il s’est prononcé sur une éventuelle réouverture des frontières.
Abdelmadjid Tebboune se dit toujours extrêmement sensible lorsqu’il s’agit de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de son pays.
Mais selon les spécialistes politiques, il y aurait une nouvelle et certaine volonté de pacifier dans une certaine mesure les relations entre les deux pays.
Le ton est bien différent de celui tenu pendant la campagne électorale. Mieux, il change de ton.
En effet, il avait exigé «des excuses solennelles de la part du Roi du Maroc», lui demandant «de faire d’abord son mea-culpa aux algériens, avant de relancer le dialogue».
Comme quoi, en politique comme en histoire, la roue tourne …