Grâce à certains mouvements appelant au boycott mais également aux réseaux sociaux et sites communautaires qui diffusent largement l’information afin de bannir les marques ayant un lien avec Israël, certaines sociétés tremblent face à cette réussite.
La chaîne de Café Starbucks, qui apparaît sur liste rouge, a été contrainte de publier un communiqué sur son site officiel en niant tout rapprochement avec Israël. La marque explique entre autres :
« Starbucks a toujours été une entreprise apolitique et le restera. Nous ne soutenons aucune cause politique ou religieuse. De plus, Starbucks et le président de la société Howard Schultz ne fournissent en aucun cas d’aide financière au gouvernement israélien et/ou à l’armée israélienne. »
La société a également affirmé qu’elle avait fait fermer tous ses magasins en Israël en 2003, en raison de « difficultés opérationnelles. »
Il est tout de même étrange que la société Starbucks publie ce genre communiqué suite au franc succès de la campagne de boycott BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions).
Sécurité économique oblige, même la marque Garnier a du s’expliquer en promettant qu’elle « ne prend pas parti dans un conflit ou affaire politique ».
Alors, faut prétexte ou vérité ?
Quoiqu’il en soit, il est important de ne pas sous-estimer l’importance du boycott économique et multiplier les appels afin que le monde comprenne que bannir les produits israéliens, c’est refuser la propagande israélienne et son génocide.