Israël, dont l’ignominie n’a plus de limites, s’arroge le droit de vie ou de mort sur le peuple palestinien. Chaque jour, l’entité sioniste nous concocte une nouvelle injustice.
Israël, dont l’arrogance n’a d’égale que la bassesse de ses actes, interdit, assiège, asphyxie, isole, tue, oblige les palestiniens à mourir de faim, à survivre dans un monde de bombes, de haine et de souffrance.
Après avoir interdit leurs terres aux palestiniens, d’emprunter les bus au profit des colons, puis dernièrement l’appel à la prière, voilà un nouveau couperet qui tombe, la fermeture de la bande de Gaza au reste du pays.
Seuls deux passages subsistaient entre Gaza et le reste de la Palestine, servant de point de circulation et de communication, mais l’armée israélienne a fermé, ce dimanche soir, ce dernier accès aux gazaouis, les isolant encore un peu plus du monde.
L’explication à cette nouvelle agression, dont l’origine est encore à mettre sur le compte des colons, serait les tirs de roquettes venant de la bande de Gaza et qui ce seraient abattus dans le sud d’Israël.
Le porte-parole de l’armée israélienne a déclaré : « les points de passage pour les personnes et les marchandises de Erez et de Kerem Shalom sont fermés jusqu’à nouvel ordre sauf pour l’aide humanitaire », propos relevés par Le Point.
Étrangement, ces soit disant nouveaux tirs de roquettes n’ont occasionnés ni dégâts, ni blessés et encore moins de morts. Il est consternant de s’imaginer tant de tirs de roquettes, depuis toutes ces années, qui finissent toujours par mourir dans des champs, ou dans des lieux inhabités.
Étrange en effet, que chacun de ces “tirs” a amené Israël à justifier chacune de ces attaques envers une population meurtrie par un blocus qui dure depuis tant d’années.
Une population sans défense, sans armes, face à une armée aveuglée par une rage sanguinaire, ne faisant cas, ni des enfants, ni des femmes.