Les liens entre les terroristes de tous bords et les Etats-Unis ont plus d’une fois été mis en évidence. Des liens plus qu’étroits, puisque à la lumière des faits, l’implication des USA dans cette nouvelle émergence terroristes « islamistes » est indéniable.
Mais ce qui est moins officiel, c’est le rôle joué par l’entité sioniste dans cette mise en scène paranoïaque à l’échelle mondiale.
Dans son rapport trimestriel, présenté au conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a fini par « lâcher le morceau », concernant les liens étroits existants entre « Israël » et les rebelles syriens.
Selon le rapport de l’UNDOF (Forces des NU chargées d’observer et contrôler le cessez-le-feu entre « Israël » et la Syrie.), il existerait bien une « coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda », grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».
L’armée syrienne détient des preuves accablantes contre « Israël », qui, hormis, une aide médicale apportée aux rebelles, les soutient aussi militairement. Une aide armée, qui aurait permis aux groupes extrémistes de gagner du terrain et de s’approprier de multiples endroits stratégiques.
Non contents de servir l’ennemi en tuant leurs propres frères, les terroristes ont mené, d’après plusieurs sources syriennes et libanaises, des attaques ciblées pour le compte des sionistes. Plusieurs savants syriens en charge des programmes d’armement et de recherche ont été éliminés par les groupes extrémistes.
« Israël », dont l’arrogance n’a pas de limites, viole en toute impunité les lois internationales en vigueur, sans craindre le retour de bâton. Il en est de même avec la résolution 2178, qui impose des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra, mais aussi contre tous les individus, groupes, entreprises ou entités, qui apporteraient un appui aux groupes terroristes.
Ban Ki-moon, qui a juré allégeance aux USA et à « Israël », aura-t-il le courage d’imposer ces sanctions à l’état voyou ? Ou bien, aurons-nous droit, une nouvelle fois, à l’Omerta si chère au cœur des Occidentaux ?