«Israël» isolé sur la scène internationale se cloître entre ses murs. Après la construction du mur de la honte qui a permis de murer la population palestinienne afin de mieux la dépouiller de ses terres et la maintenir dans un état de dépendance quotidienne, de nouveaux projets israéliens sont en route.
Ce sont déjà 400.000 palestiniens privés de leurs champs, de leur travail, de leur école, de leur hôpital qui se retrouvent cadenassé dans une prison à ciel ouvert.
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Le mur de l’Apartheid ou le moindre contact déclenche une alarme, où les caméras de surveillance sont présentes tous les 50 mètres, où les soldats sont postés sur les miradors prêts à tirer. Côté palestiniens, un profond fossé et une triple rangée de rouleaux de barbelés les séparent du mur, même les animaux sont mieux traités.
Comme si cela n’était pas suffisant, l’entité sioniste prévoit de construire un autre «mur de séparation» à la frontière avec la Jordanie.
Le prétexte invoqué est la crainte d’une éventuelle infiltration des «Djihadistes» venant d’Irak ou de Syrie, rapporte la presse israélienne.
Malgré qu’aucun élément probant ne vient étayer cette thèse, qui sent le réchauffé, et qui est servie lors de chaque invasion israélienne dans un mépris total des droits internationaux.
Il est clair que le seul objectif poursuivi par l’état hébreux, après l’édification du premier mur et la clôture de sécurité construite à la frontière égyptienne avec l’aval du gouvernement al Sissi, c’est le projet des changements géostratégiques dans la région.
La construction d’un aéroport prévue pour l’été 2016 dans cette zone démontre à quel point «Israël » souhaite annexé encore plus de territoires et enfermer dans une superficie grande comme un mouchoir de poche des millions de palestiniens.
Les projets pharaoniques de Netenyahou se poursuivent avec une régularité de métronome dans une indifférence totale des pays musulmans toujours sous l’emprise occidentale.