Tricher durant les examens est devenu pour certain un sport auquel ils s’adonnent sans vergogne. Pourtant le risque n’est pas anodin, en France, être pris à tricher à l’épreuve du Bac équivaut à « l’interdiction de participer à tout examen de l’Éducation nationale pendant 5 ans au maximum (bac ou post-bac), ou encore l’interdiction définitive de passer tout examen de titre ou diplôme délivré par un établissement public du supérieur et de s’y inscrire »

[Ne manquez plus aucune info et rejoignez vite HBK sur Facebook en cliquant ICI ! ]

Cela dit aucun pays n’est épargné face à l’angoisse de la feuille blanche et du trou de mémoire. En Algérie, une jeune fille à la pointe de la technologie a été attrapée une puce électronique à l’oreille.

Un moyen très sophistiqué de triche, la puce satellitaire lui permettait d’être en contact avec un complice qui lui soufflait les réponses à l’oreille dans une parfaite discrétion. Du moins jusqu’au moment où un surveillant, attiré par le comportement de l’étudiante, l’a surprise en flagrant délit de fraude. Prise la main dans le sac, elle a bien été obligée de reconnaître la fraude et signer le procès verbal.

Les réseaux sociaux sont un puits sans fond d’astuces en tout genre où les jeunes étudiants sont guidés dans leur désir d’exploiter tous les moyens mis à leur disposition pour décrocher le Saint Graal.

En 2011, la fuite sur internet d’un sujet de l’épreuve de Mathématique du Bac scientifique passée par 165.000 élèves, avait défrayé la chronique. Des centres d’examen avaient opté alors pour le brouillage des téléphones portables, fort prisés par les étudiants.

Aujourd’hui, les fraudeurs ne sont plus jugés par les universités mais par une commission disciplinaire académique.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît tapez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici