Depuis la décision de la Turquie, fin juillet, de lancer son offensive contre les séparatistes kurdes et Daesh, les attaques n’on pas cessé contre son armée.
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Ce mercredi 19 août, une bombe a explosé au passage d’une de leur patrouille dans la province de Siirt, dans le sud-est de la Turquie. Huit soldats ont péri.
Cette offensive a été attribuée aux rebelles du “PKK” (Parti des travailleurs du Kurdistan). C’est la plus meurtrière qu’a subie l’armée turque en un mois.
Un autre attentat a eu lieu un peu plus tôt dans la journée à Istanbul où une fusillade a éclaté. Deux hommes armés de grenades et de fusils automatiques ont été arrêtés.
Selon les autorités, l’attaque visait des policiers; l’un d’entre eux a été légèrement blessé. Elle est attribuée, selon l’agence de presse officiel “anatolie”, à l’organisation extrême gauche “DHKP-C” d’idéologie marxiste-léniniste.
