Les migrants n’ont décidément pas le vent en poupe ces derniers mois, après avoir été accueillis à bras ouverts, ils devront dorénavant s’investir totalement pour pouvoir prétendre à un droit d’asile. Les pays européens qui ont le cœur sur la main lorsqu’il s’agit de porter secours à leurs prochains exigent de leurs invités de se conformer aux us et coutumes du pays.
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La Norvège entend bien éduquer les migrants de sexe masculin en leur inculquant le savoir vivre et corriger leur comportement vis-à-vis des femmes via des cours d’éducation sexuelle.
Comment ? En leur expliquant notamment qu’un baiser ne veut pas dire qu’une femme souhaite avoir un rapport sexuel, que les femmes légèrement vêtues ne sont pas des femmes aux mœurs légères etc… Bref ! Les réfugiés, ces “sauvages sans éducation” ont besoin d’être dressés par les occidentaux civilisés.
Des formations seront donc dispensées dans le but de faire comprendre à ces réfugiés venus d’ailleurs, les mœurs occidentales auxquelles ils sont inaccoutumés car inexistantes dans leur culture, sous-entend là où la femme peut-être violée impunément.
Une responsable norvégienne qui gère 34 centres d’asile a estimé que ce type de formations pourra éviter d’éventuelles violences envers les femmes et ainsi écarter les amalgames qui pourraient naître au sein de la population.
C’est après une série de viols enregistrés dans la ville de Stavanger en 2011 selon le Blick que l’idée a germé quatre ans plus tard. La présence des migrants avait immédiatement donné lieu aux rumeurs habituelles et les viols leur ont été rapidement imputés, comme c’est le cas actuellement en Allemagne.
La proposition norvégienne a fait des émules, puisque le Danemark compte lui emboîter le pas tout comme la Suisse et dernièrement la Belgique.
Une mode qui discrimine une nouvelle fois les réfugiés en grande majorité musulmans et ainsi conforter l’opinion publique dans l’idée que l’Islam dévalorise l’image de la femme.
Une propagande de plus à ajouter au lourd panier islamophobe déjà plein à ras bord.
