La question n’est plus «Quel avenir laisserons-nous à nos enfants demain?» mais plutôt «Combien d’enfants survivront pour construire demain leur avenir?».
Ce petit garçon est à lui seul l’emblème de la Syrie, un pays dévasté par un régime dictatorial, violent et autoritaire.
Les propos de ce petit syrien, sont une vraie leçon de vie pour les musulmans du monde entier.
Au cours de la guerre, il a perdu un œil, l’usage de ses deux mains et l’ensemble de son corps portent les traces des bombardements.
Le moindre geste du quotidien est devenu une épreuve, qu’il surmonte chaque jour avec beaucoup de courage.
Cependant, malgré tout ce qu’il a subi, il remercie Allah de lui avoir accorder la chance de continuer à vivre el hamdoullilah. Il se satisfait de son état, étant la volonté d’Allah et il se réjouit d’imaginer que ses mains l’ont précédé au paradis. Il est persuadé d’être un privilégié en occultant toutes les douleurs de ses multiples blessures physiques.
La foi de ce syrien n’a jamais été ébranlée, et ceux, malgré les redoutables épreuves de cette vie éphémère. Il met son adoration pour Allah au-dessus de tout ce bas monde pour être heureux et devenir, chaque jour, un meilleur musulman.
Un témoignage poignant et bouleversant qui brise le cœur. On ne peut que se remettre en question face à sa facilité à relativiser. Les larmes montent face à cette détermination qui force l’admiration.
Il émet le simple souhait que le Koweït, prie et fasse des invocations pour le peuple syrien, afin que celui-ci puisse regagner son territoire et vivre en paix.
Une requête à l’image de ce petit garçon qui malgré son jeune âge est doté d’un maturité religieuse qui nous l’espérons, l’amènera tout droit vers le paradis in sha Allah.
