Interviewé depuis Tel Aviv, ce dimanche 22 mai, par Paul Amar et Apolline de Malherbe, sur une émission diffusée simultanément sur BFM et i24news, le premier ministre, Manuel Valls clame une nouvelle fois son attachement à Israël.
La journaliste Apolline de Malherbe est revenue sur l’intervention d’un professeur de Tel Aviv qui a qualifié le Premier ministre français de sioniste.
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Une interrogation gênante qui a a semé un mal aise chez le journaliste Paul Amar et auprès du principal concerné Manuel Valls, qui a répondu difficilement:
« Je n’ai jamais dit que j’étais sioniste, le sujet n’est pas là. Ce n’est pas du tout mon problème. Mon problème c’est de dire que le discours antisioniste est le premier pas, la porte ouverte à l’antisémitisme ».
Ainsi, il ose clamer que “anti-sionisme” et “antisémitisme” sont des synonymes.
Un comportement qui pose la question cruciale de savoir si Manuel Valls est un ministre de France ou d’Israël au regard de ses multiples déclarations depuis sa prise de pouvoir comme lorsqu’il a proclamé qu’il faut « combattre l’antisionisme, cet antisionisme qui vise à nier Israël », que « La France a une part juive incontestable » ou encore son grand aveu: « Je suis lié de manière éternelle à Israël ».