La guerre en Syrie n’épargne personne et encore moins les plus faibles.
Lundi 24 juillet au matin, une maison de retraite a été bombardée à Talbissa au nord de Homs en Syrie.
Sur ces images, on peut constater le terrible état des lieux. On y voit un champ de ruines où certaines personnes âgées vagabondent traumatisées par la brutalité de l’attaque.
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Une nouvelle preuve de l’inhumanité de cette guerre dont les premières victimes sont les innocents.
Le malheureux destin de ces personnes âgées sans défense vient s’ajouter aux milliers d’enfants morts sous les bombardements.
Les raids aveugles détruisent les derniers endroits de vie comme les hôpitaux, les maternités et à présent, les maisons de retraite.
Des personnes handicapées en chaise roulante, des personnes malades n’ayant plus la capacité de se déplacer, ou d’effectuer les gestes primaires du quotidien… voilà le portrait des victimes des bombes aériennes.
Un acte ignoble qui aggrave l’état du non-respect des Droits de l’Homme dans cette région du monde.
L’ONU avait pourtant condamné en mai 2016, les violences contre les malades, personnels de santé et personnels humanitaires, en cas de conflits armés. Cependant, les destructions des structures de santé persistent et les populations civiles n’ont plus accès aux aides humanitaires nécessaires à leur survie.
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