Décidément pas une semaine ne passe sans que le polémiste notoire, Donald Trump ne défraie la chronique par ses inepties qui n’en restent pas moins dangereuses dans le cas où il viendrait à briguer le prochain mandat présidentiel.
Connu pour sa haine envers tous ceux qui n’ont pas le sang (blanc) américain, Trump se défend d’être un raciste tout en réitérant toutefois son souhait de débarrasser l’Amérique des musulmans et autres races indésirables.
[Ne manquez plus aucune info et rejoignez vite HBK sur Facebook en cliquant ICI ! ]
Fidèle à ses idées détestables, il n’a pas manqué tacler, une nouvelle fois, les musulmans lors d’un rassemblement électoral à Portland dans l’Etat du Maine le 4 août dernier:
« We’re dealing with animals » ( Nous avons affaire à des animaux ); s’est-il écrié faisant allusion aux immigrés provenant d’une liste de pays où le Maroc figure en bonne position.
Décidé à maintenir en haleine son public de la droite américaine jusqu’au bout, le milliardaire le caresse dans le sens du poil bien déterminé à lui jeter en pâture le sempiternel prétexte des immigrés seuls responsables des maux d’une Amérique malade.
Surfant sur la vague islamophobe du moment, Trump a ressorti la vieille rengaine des citoyens américains musulmans qui seraient un cheval de Troie, prêts à occire tout américain blanc digne de ce nom.
Pour accentuer la menace et faire trembler un peu plus son public déjà acquis à sa cause, il n’a pas hésité à qualifier les immigrés d’animaux prêts à perpétrer des attaques terroristes sur le sol américain, selon l’agence AFP et le site britannique Daily Mail.
Le magnat de l’immobilier ne s’en cache pas, pour lui tous les immigrés originaires d’Afghanistan, du Maroc, du Pakistan, de Somalie de Syrie, de l’Ouzbékistan et du Yémen ne ne sont pas dignes d’être traités en humains puisque selon lui ils viennent de « nations terroristes ».
