N’en déplaise à la clique politicienne qui souhaite soumettre la communauté musulmane de France à une laïcité créée spécialement à leur attention.
Le Conseil d’Etat renvoie à leur copie les maires et autres frustrés républicains qui ont décidé d’interdire le burkini sur les plages de leurs villes.
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Les arrêtés pris à la va-vite afin d’entériner le plus rapidement possible des interdictions qui n’ont pour seul objectif que de nettoyer peu à peu la présence des musulmans du paysage français, sont illégaux selon le Conseil d’Etat.
Pourtant cela n’a pas empêché nos élus d’enfreindre sciemment la loi dans l’espoir que les grandes instances étatiques ferment les yeux comme à leur habitude.
Car après l’interdiction du burkini puis du voile sur les plages, certains excités par la facilité déconcertante à imposer leurs décisions aux musulmans de France, rêvaient déjà d’une interdiction plus étendue de ces deux “ menaces” en se disant et pourquoi ne pas les proscrire dans la rue ?
Mais selon Maître Patrice Spinosi, avocat de la Ligue des droits de l’Homme, invité sur BFMTV, ce « signe religieux », tout comme le « le voile », ne « peut pas être interdit dans l’espace public ». Non les élus de cette France devenue profondément islamophobe ne peuvent continuer à jouer impunément avec nos nerfs.
Ces deux signes transformés malgré eux en symbole d’une haine farouche « peuvent être interdits dans l’école, dans les administrations, aux agents publics mais pas à la plage, pas dans la rue, pas dans les transports en commun ».