Les femmes voilées sont les ciblées privilégiées des islamophobes désirant trouvés un coupable accessible et fragile.
Le phénomène raciste et xénophobe s’étend partout dans le monde sans qu’aucune loi internationale vienne défendre ses femmes maltraitées tel une nouvelle forme d’apartheid.
[Ne manquez plus aucune info et rejoignez vite HBK sur Facebook en cliquant ICI ! ]
Dernièrement en France et en Allemagne des femmes voilées ont subi des insultes publics inacceptables entravant leurs libertés fondamentales.
Cette fois-ci la scène se déroule au Canada à Montréal où deux femmes voilées ont reçu de graves injures dans un grand centre commercial par une autre femme.
Doha Abussedo, jeune étudiante, se trouvait dans la file d’une caisse du Dollarama situé au coin du boulevard Saint-Laurent et de la rue Roy pour y déposer son CV. Sa sœur regardait les articles dans le magasin en attendant que sa sœur finisse sa recherche d’emploi quand tout à coup, elle entend des insultes à l’encontre de sa sœur.
Elle se rend de suite auprès de sœur pour lui murmurer à l’oreille qu’elle est victime d’attaques islamophobes. Souhaitant rétablir la terrible injustice sa sœur réagit afin de dire sa manière de penser à l’exécrable femme. Mais cette dernière au lieu de demander des excuses, elle continue à déverser sa haine.
Doha Abussedo terrifiée par tant de hargne explique: « J’ai vécu beaucoup de formes de racisme, mais ça représente la pire fois. Elle nous a traitées de tous les noms, de criminelles et même de pédophiles, sans raison apparente ».
L’agression prend fin avec l’arrivée des policiers du Service de la Ville de Montréal (SPVM) qui parviennent à faire sortir l’assaillante.
Doha encore sous le choc livre une entrevue téléphonique au journal TVA Nouvelles: « Même à l’arrivée des policiers elle n’arrêtait pas de s’en prendre à nous. Plusieurs personnes ont filmé ce moment et j’en ai vu d’autres pleurer face à ce qui se passait. »
La jeune femme agressée verbalement ne souhaite pas porter plainte étant consciente que l’affaire n’aboutira jamais à une condamnation. Cependant, elle désire propager l’information sur les réseaux sociaux pour démontrer que les attaques islamophobes perdurent et s’amplifient de manière révoltantes.
