Si Barack Obama a su tromper son monde durant ses deux mandats, il n’a pas réussi avec son demi-frère Malik Obama.
Un air décontracté qu’il a peaufiné avec soin pour se donner l’image d’un président cool et proche de ses citoyens, un président rock qui blague, qui chante, un charisme qui a sans nul doute subjugué les foules.
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Mais Obama ne pouvait se représenter pour un troisième mandat, alors il a tout fait pour appuyer la candidature d’Hillary Clinton, seulement voilà le charme est rompu et le peuple américain a opté pour les mesures radicales, celles d’un Trump qui promet monts et merveilles à coups d’annonces chocs.
Et Malik Obama n’a semble-t-il jamais été dupe du côté rock and roll de son demi-frère. Né dans un petit village de l’ouest du Kenya, Malik a accusé son frère d’être malhonnête, arrogant et de n’avoir rien fait pour le Kenya son pays d’origine ou encore pour sa famille paternelle.
Citoyen kenyan et américain, Malik ne porte donc pas son demi-frère dans le cœur, il aurait même monnayé des lettres de jeunesse de Barack Obama. Une épine dans le pied du 44e président qui l’aura embarrassé jusqu’au bout. En effet ce frère encombrant a soutenu Donald Trump lors de l’élection présidentielle, sur sa photo de profil Twitter, il arbore une casquette rouge en signe de soutien au milliardaire.
Heureux de cette victoire inespérée, il lui a adressé un message de félicitation.
« Mes félicitations président Trump! Dieu est grand! », a-t-il écrit sur Twitter. Il a même été jusqu’à comparer le magnat de l’immobiliser à Malcolm X, le militant des droits civiques des Noirs américains. « Un Malcolm X réincarné, le Malcolm X blanc » a-t-il écrit tout en tançant l’ex Première dame qu’il a qualifié de « MALHONNÊTE ».
La grand-mère d’Obama, Sarah est plus nuancée dans ses propos et ne semble pas partager l’euphorie de Malik Obama. « Il l’a (la présidence, ndlr), et c’est Dieu qui lui a donné, qui suis-je pour m’y opposer? Cela aurait été de même si Clinton avait été choisie, je n’ai pas mon mot à dire » a-t-elle simplement commenté.
Ajoutant: « C’est à lui que revient de développer l’Amérique et le monde comme Barack l’a fait avant lui ». Donald Trump « doit prendre le rôle de leader à bras-le-corps, comme Barack l’a fait ».