Israël caracole en tête des dictatures ayant commis les pires atrocités à l’encontre des civiles. Les assassinats d’enfants place l’état hébreu au même rang que l’était l’Allemagne nazie, celle-là même qui sert encore aujourd’hui, plus de 70 ans plus tard, de référence en matière d’ignominie.
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Pourtant il n’est pas nécessaire de se plonger dans l’histoire pour retrouver les mêmes horreurs, il suffit d’ouvrir les yeux sur les crimes commis par Israël.
Vols des terres Palestiniennes, destructions des infrastructures, arrestations arbitraires, tortures et meurtres, tels sont les agissements criminels de l’entité sioniste.
Malgré cela rien n’est fait pour mettre un terme à ces abominations, bien au contraire, la communauté internationale persiste à feindre l’ignorance pendant que des femmes, des hommes et des enfants sont tués impunément. Et la mort n’a pas d’âge au pays des criminels de guerre, Israël ne fait pas dans le détail quand il assassine.
Khalid Bahr était un jeune adolescent de 15 ans abattu lâchement d’une balle dans le dos le 20 octobre dernier. Son crime, avoir jeté des pierres, quelques cailloux contre des uzi et des tanks israéliens dans la région d’Hébron.
Son corps, comme celui de beaucoup d’autres tués Palestiniens, a été gardé par les Israéliens, une manière d’empêcher les autopsies. Et ce n’est que deux mois après son assassinat, qu’il vient d’être restitué à sa famille qui a enfin pu l’enterrer samedi.
Selon les témoins du meurtre et les images qui ont été filmées, les soldats israéliens lui ont tiré une balle dans le dos qui lui a traversé la poitrine. Une ambulance du croissant rouge venue porter secours à la victime a été empêchée de s’approcher laissant le jeune Khalid se vider de son sang.
Les images éloquentes prouvent de manière indiscutable les crimes de l’état hébreu, mais les médias occidentaux sont aux abonnés absents. Une complicité dans le génocide du peuple Palestinien dont ils devront un jour répondre.