Malgré les nombreuses alertes contre la santé, l’aluminium est un métal qui nous entoure quotidiennement.
Ce produit que l’on retrouve souvent dans nos emballages alimentaires, dans les vaccins, dans les produits cosmétiques ou encore des les produits électroménagers à des doses variables, est très nocif pour la santé de l’homme.
De nombreuses étude récentes ont révélé que l’exposition à l’aluminium, cause de graves pathologies. Les enquêtes suggèrent une responsabilité de ce matériau dans l’augmentation de la maladie d’Alzheimer, de la sclérose en plaque, de la maladie de Crohn, des colopathies fonctionnelles (ou syndrome de l’intestin irritable).
L’aluminium est également suspecté comme facteur de la baisse de fertilité masculine. Un lien certain a été établi avec une maladie, la myofasciite à macrophages, dont la survenue est désormais associée à la présence de sels d’aluminium dans certains vaccins.
De plus, le professeur Pierre Desreumaux a récemment annoncé que :
« En 2015, des résultats sont attendus sur le lien entre l’apparition de cancer du sein dans le quadrant supéro-externe (40% des cas) et l’application de déodorants et anti-transpirants contenant de l’aluminium ».
D’autre part, le Keele Meeting de Lille a mis en exergue l’importance de la voie orale qui représenterait 40% de l’aluminium ingéré. Celui-ci transiterait par l’intestin, provoquant une grande porosité des parois lui permettant de passer dans le sang. Il s’accumulerait préférentiellement dans les os et dans le cerveau.
Certes, nous ne sommes pas tous égaux et les effets de l’aluminium dépendent des capacités propres à chaque organisme de le gérer. En attendant, pour réduire au maximum son ingestion, reste à appliquer le bon vieux principe de précaution: éviter de cuisiner en utilisant du papier aluminium, se passer des vaccins facultatifs et bien lire les étiquettes des produits industriels alimentaires et cosmétiques pour s’éloigner de ce poison toujours légal.