Plusieurs militaires français ont été déployés pour sécuriser le pays. Un très grand nombre d’entre eux sont affectés à la surveillance des synagogues et de plusieurs lieux appartenant à la communauté juive.
Un incident passé inaperçu n’a pas fait les choux gras de la presse, et pour cause.
Le 22 janvier dernier, un militaire de l’armée de terre, en faction devant une synagogue de Nice, a malencontreusement ouvert le feu avec son fusil d’assaut. Heureusement, plus de peur que de mal, personne n’a été ni blessé, ni tué dans l’histoire.
Le colonel Jean-Pierre Bedu a tenté de nous expliquer ce qui est arrivé. Le caporal-chef, envoyé d’une unité du Var, a voulu vérifier son arme lors de la relève de 12h15 devant le centre juif Habad Loubavitch rue Rossini. Suite à une maladresse, une rafale de 3 balles est partie. Le canon étant pointé vers le sol, et l’absence de passants aux alentours, comme le prévoit le règlement, ont permis d’éviter le pire.
L’attentat antisémite a été frôlé de justesse ….