Une série sur Netflix semblait prédire avec précision la pandémie de coronavirus en 2018. Le 10e épisode de la série coréenne My Secret Terrius, sorti en 2018, fait mention de la maladie mortelle, qui a été utilisée pour désigner plusieurs virus avant d’être associée à l’épidémie de COVID-19.
Cependant, dans des scènes prémonitoires de l’émission, un médecin peut être entendu disant: « Le coronavirus attaque le système respiratoire », ajoutant: « Ce qui est plus grave, c’est que le coronavirus a une période d’incubation de deux à 14 jours. »
Elle ajoute: « Ce virus a été manipulé pour attaquer directement les poumons en seulement cinq minutes après avoir été exposé. »
Lorsqu’on lui a demandé s’il y avait un remède, elle répond: « Il n’y a pas de remède disponible pour le moment. »
Contrairement à la vraie vie, cependant, le virus de la série – qui est comparé au SRAS – a été « manipulé » dans le but de le rendre plus contagieux, bien qu’il soit remarqué que le coronavirus « attaque les poumons directement en seulement cinq minutes après avoir été exposé ».
Un autre moment montre aux enfants qu’on leur demande de se laver les mains pour empêcher la propagation du virus.
Rapport de la CIA qui avait prédit la pandémie mondiale en 2009
« Le nouveau rapport de la CIA : comment sera le monde en 2025 ? », dont l’édition française est parue aux éditions Robert Laffont en 2009, est la quatrième édition d’un rapport de l’agence de renseignement américain, qui tente régulièrement de prédire l’avenir du monde dans un horizon de quinze à vingt ans, en pointant l’émergence de facteurs susceptibles de provoquer conflits et tensions.
Dans un encart intitulé « Le déclenchement possible d’une pandémie mondiale », les experts de la CIA y décrivent un scénario très proche de la crise du Covid-19, imaginant « l’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente, extrêmement contagieuse », rapporte le Nouvel Obs.
« Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le Sud-Est asiatique où les populations vivent au contact du bétail. »
