Face aux attaques abjectes de l’armée d’occupation israélienne au sein de la mosquée sacrée d’Al-Aqsa durant le Ramadan, les colons israéliens ont laissé déborder leur joie en chantant et en dansant aux abords de la troisième mosquée sacrée de l’Islam.
? [ ALERTE INFO ] Les colons israéliens dansent pour provoquer les Palestiniens près de la porte de Damas à Jérusalem occupée.
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— Gaza News+ (@GazaNewsPlus) May 9, 2021
?? Les colons sionistes essaient de briser les grilles de la porte de Damas et essayent d’entrer dans la mosquée ? #Palestine #Jerusalem #AlAqsa
— ? Mr. Iso Abiniz ﺦ (@IIsmmaiil_) May 10, 2021
Peu de temps après, ces mêmes colons ont déployé un drapeau géant d’Israel en signe de provocation envers les Palestiniens et les musulmans du monde entier.
? [ PROVOCATION ] Les colons israéliens déploient un immense drapeau d’ »Israël » de 1.000 mètres carrés devant le mur El Bouraq (mur appartenant à la Mosquée #AlAqsa) appelé « mur des lamentations » par les israéliens.
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La violence est une caractéristique permanente
« Pour nous, les habitants de Jérusalem, il est franchement nauséabond d’entendre des commentateurs lancer des clichés du «cycle de la violence», appeler au «retour au calme» et se livrer généralement aux deux côtés à chaque fois que la violence éclate. Et au cours des dernières semaines, nous les avons entendus à nouveau. Il n’y a pas deux côtés égaux à Jérusalem.
Le problème avec ces déclarations est qu’elles blanchissent le fait que Jérusalem est une ville sous occupation violente et que son occupant, Israël, a fait connaître son intention de déraciner lentement la population autochtone. » témoignage un habitant de Jérusalem.
En ce sens, la violence est une caractéristique permanente de la vie des habitants de Jérusalem, même lorsque les observateurs extérieurs perçoivent les rues comme «calmes». Et ce n’est pas une question de désescalade «des deux côtés».
L’année écoulée a été particulièrement violente pour les Palestiniens de Jérusalem. L’impact du COVID-19 sur notre communauté est éclipsé par les effets du harcèlement incessant, des arrestations, de la démolition de maisons et du déplacement par les autorités israéliennes, visant en fin de compte le nettoyage ethnique de la ville.
Personne ne devrait être surpris de l’ampleur de la colère des Palestiniens envers les autorités d’occupation israéliennes dans la ville. Leurs empiétements sur les droits de notre communauté sont sans fin et sont directement responsables de toute montée de la violence.
Tel est le cas de ce dernier épisode violent qui a débuté dans les premiers jours du mois sacré du Ramadan.
Le Ramadan est un moment privilégié pour les musulmans du monde entier, mais à Jérusalem, l’ambiance festive est tout simplement magique. C’est un moment où les habitants de Jérusalem – jeunes et vieux – se réunissent avec leurs amis et leur famille, se promènent dans les rues de la ville, achètent des bonbons, boivent du café et profitent des jeux de lumière, des spectacles de musique impromptus et des spectacles de rue.
Vous ne verriez pas Jérusalem prendre vie tard dans la nuit à aucun autre moment de l’année. C’est une expérience particulière qui reflète les liens communautaires forts entre les Palestiniens de Jérusalem. Et c’est, bien sûr, une occasion privilégiée pour les autorités israéliennes de harceler les Palestiniens et de gâcher leurs festivités. Cette année n’était pas différente.
Vous n’aviez pas vu le drapeau israélien déployé fièrement au pays de dépravations en l’occurrence le Maroc. Commencez à combattre les traitres arabes marocains et les bédouins d’arabie tayhoudite….