Le très controversé docteur Jekyll et Mister Hyde du monde de la boxe, Badr Hari vient d’être condamné à deux ans de prison dont dix mois avec sursis. Le célèbre kickboxeur autant connu pour ses nombreuses victoires que pour ses frasques qui font souvent la Une des journaux a été jugé par le Tribunal d’Amsterdam pour différentes affaires qui ont défrayé la chronique avec notamment une « tentative de meurtre » sur la personne de Koen Everink, un homme d’affaires hollandais qui aurait provoqué le boxeur dans une boîte de nuit en 2012.
Le champion marocain devra verser, à la victime, la modique somme de 37 000 euros de dommages et intérêts. L’avocat du boxeur compte se pourvoir en cassation.
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Si le marocain peut se montrer par moment très violent, il reste néanmoins une personne très généreuse comme il a pu le prouver durant l’Aïd al-Adha où il a distribué lui-même 200 moutons aux familles les plus démunies de Kénitra. Grâce à la générosité de Badr Hari ce sont plusieurs prisonniers, veuves et foyers pour personnes âgées qui ont pu joyeusement célébrer l’Aïd.
L’un des derniers projets dans lequel il vient de se lancer est l’extension d’une école à Kénitra avec la construction de plusieurs salles de classe et d’un espace de jeux. Plus de 450 enfants pourront bénéficier de cette expansion.
Le bad boy n’a jamais oublié son pays et malgré ses nombreux écarts, il n’en reste pas moins un champion au grand cœur; lui qui a récemment financé une vingtaine d’opérations chirurgicales à des familles pauvres
