La Syrie subit depuis 2011 un véritable génocide qui a déjà fait des milliers de morts et en particulier des femmes, des enfants et personnes âgées. Il n’est plus rare d’assister à l’utilisation d’armes bannies depuis la Seconde guerre mondiale.
En effet, depuis le mois d’août, Barakacity diffuse des images et des vidéos dénonçant les violences exercées sur les populations syriennes.
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Dernièrement, dans la ville syrienne d’Idlib, des raids aériens Russes larguent des bombes de phosphore blanc qui sont principalement des bombes incendiaires.
Les bombes au phosphore blanc sont interdites par le Protocole III sur l’interdiction ou la limitation de l’emploi des armes incendiaires de la Convention sur certaines armes classiques, qui interdit l’utilisation des armes incendiaires contre des civils ou contre des cibles militaires situées à l’intérieur de concentrations civiles.
L’exposition au phosphore blanc peut provoquer la mort, engendrer des brûlures de la peau, endommager le foie, le cœur ou les reins.
Les Syriens sont à l’image du peuple Palestinien: des populations en cours d’extermination.
Effectivement, Israël a souvent recours aux bombes au phosphore blanc sur la Bande de Gaza faisant de nombreuses victimes civiles et d’énormes dégâts sur des infrastructures, écoles ou hôpitaux.
Le droit international considère le phosphore blanc comme « une arme incendiaire » classique très dévastatrice car cette arme sournoise se fixe sur les habits en gardant ses capacités de destruction. Ainsi, toute personne tentant de venir en aide à une autre touchée par le produit chimique est directement à son tour brûlée.
L’intérêt tactique des armées semble subroger aux risques encourus par les populations civiles syriennes meurtries, terrorisées, et à présent brûlées vives.
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