Plus fort que les mots, le choc des images de ce document qui nous présente d’une manière crue les violences d’une guerre unilatérale contre un peuple opprimé, spolié, blessé, tué dans sa chair et dans sa vie au quotidien.
Qu’en est-il un an après les attaques meurtrières perpétrées contre une population désoeuvrée n’ayant plus un seul endroit où s’abriter des bombes sionistes ? 51 jours auront suffit à décimer la bande de Gaza.
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Un document poignant qui rappelle que la guerre laisse plus que des gravats et des morts derrière elle. Elle laisse également un traumatisme auquel tout l’or du monde ne pourra en venir à bout. Une enfance volée à jamais pour les plus jeunes, qui n’ont connu que les bombes et les assauts vicieux d’une armée désireuse d’exterminer femmes et enfants.
Plus de 100.000 SDF, jetés à la rue sans perspective d’avenir. Vivant au milieu des décombres et des ruines de leurs anciennes habitations, les gazaouis ne sont pas prêts de revoir leurs maisons reconstruites, face à l’intransigeance israélienne qui bloque l’accès à l’introduction de matériels et de ciment.
Il faudrait 100 ans pour reconstruire l’enclave d’après les experts. Laissé à l’abandon, une économie en berne, 80 % de la population manque cruellement de produits de première nécessité. Les jeunes ne sont plus scolarisés, les écoles, les hôpitaux, toutes les infrastructures ont été sciemment détruites par Tsahal. Des milliers de morts et de blessés plus tard, que sont-ils devenus ?
Asphyxiés les gazaouis survivent tant bien que mal dans la plus grande prison du monde, encerclés par les tanks israéliens d’un côté et par les navires égyptiens de l’autre, qui pourrait survivre dans cet enfer ? Que Dieu Soubhana wa ta’ala leur accorde sa miséricorde en ce mois de Ramadan inchAllah !