L’image de la honte pour l’état hébreu qui laisse les palestiniens mourir de faim, leur interdisant de s’approvisionner en biens de première nécessité. Le mur de l’Apartheid construit tel un rempart contre la vie, une tombe à ciel ouvert qui tue à petit feu, des hommes, des femmes et des enfants.
Obligés de recourir à tous les stratagèmes pour subvenir aux besoins élémentaires des leurs, les palestiniens s’organisent tant bien que mal et c’est à l’aide d’un trou de souris qu’un enfant passe du pain à un autre adolescent situé de l’autre côté du mur de séparation.
Lorsque le journaliste demande pourquoi se donner tant de mal, la réponse arrive comme un coup de poing dans le ventre, « On fait de la contrebande de pain », « Pourquoi ? » « Parce que l’armée israélienne ne nous laissent pas traverser » « Pourquoi ? » « Ils disent que c’est interdit ! ».
L’enfant va faire passer 1000 pains par le petit trou ce jour-là.
L’étau se referme chaque jour un peu plus sur une population livrée à elle-même, prise entre les exactions quotidiennes de Tsahal et le besoin de se ravitailler pour survivre dans la pire des jungles. Une angoisse perpétuelle qui est une compagne de tous les jours.
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Les Palestiniens contraints de faire de la contrebande de pain pour se nourrir…
► 1.000.000 de J'aime pour la Palestine◄Publié par 1.000.000 de J'aime pour la Palestine sur dimanche 8 mai 2016