Brigitte Bardot, ancienne actrice française célèbre et désormais défenseure des droits des animaux vient de publier un communiqué virulent contre les musulmans et leurs « immonde fête religieuse de l’Aïd Al Adha ».
En effet, les musulmans s’apprêtent à fêter l’Aïd Al Adha dans quelques jours, un jour de sacrifice du mouton et ce, pour plaire à son Créateur et perpétrer une tradition remontant à Ibrahim, alayhi salam. Une tradition que Brigitte Bardot ne veut voir.
Mais Brigitte Bardot ne décolère pas. Elle vient de publier un communiqué virulent et agressif à l’attention des musulmans. Ainsi, elle explique :
« Le 31 juillet, aura lieu l’immonde fête religieuse de l’Aïd-el-Kebir, qui comme tous les ans depuis des années sacrifiera, cruellement, sans étourdissement préalable, des centaines de milliers de moutons qui, après une longue et douloureuse agonie, perdront conscience, étouffés par le sang qui coulera à flots de leurs gorges ouvertes. »
Ce qui l’indigne c’est la dérogation autorisant l’égorgement sans étourdissement de la bête au préalable. Brigitte Bardot continue :
« Si les musulmans en France nous imposent leurs traditions archaïques auxquelles nos gouvernements se soumettent sans que personne ne réagisse, alors où allons-nous? Où est la laïcité tant prônée par nos dirigeants dans tout ce sang versé au nom d’une religion? »
Brigitte Bardot ne s’arrête pas là et demande une réaction urgente de la part des autorités :
« Alors réagissez, je vous en supplie. La France n’est pas la banlieue de Bab-el-Oued et nous sommes en opposition totale avec la souffrance atroce que cette tradition barbare impose à nos moutons. »
a chaque date du sacrifice du mouton, elle se met a divaguer la brigitte, elle se bat contre l’oublie, ses propos sont une espèce de fausse gaufrette, alors laissons-la se défouler « et dieu créa la folle », même le RN pour qui elle a de l’affection, ne la calcule plus
Chasser le naturel , Brigitte Bardot, née le 28 septembre 1934 à Paris la muse de grands artistes de l’époque. En gros jouer sexuel. même Gainsbourg ? Elle est amblyope de naissance, c’est-à-dire presque borgne de l’oeil gauche pour décrire sa grossesse. « C’était comme une tumeur qui s’était nourrie de moi, que j’avais portée dans ma chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où l’on m’en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j’assume à vie l’objet de mon malheur », écrit-elle. Meurtri gravement par ces phrases, son fils, Nicolas lui intentera un procès en octobre 1996 pour atteinte à l’intimité intra-utérine. Ces mots, d’autres.