Une femme musulmane pleure alors que les autorités chinoises démolissent le dôme et le minaret de sa mosquée locale à Hohhot, en Mongolie. Hajar était la seule personne à s’être rendue à la mosquée deux jours de suite pour protester et bloquer les bulldozers.
امرأة مسلمة تبكي بينما تهدم السلطات الصينية قبة ومئذنة مسجدها المحلي في هوهوت، منغوليا الداخلية
كانت هاجر ها هي الشخص الوحيد الذي ذهب إلى المسجد ليومين متتاليين للاحتجاج وعرقلة الجرافات.#الصين #الإسلام pic.twitter.com/avQZT4PsP6
— DOAM (@doamuslims) November 2, 2021
Des « organes halal » à destination de Chinois et des pays du Golfe
Il est vrai que la Chine fait partie des pays les plus efficaces dans le monde concernant le don d’organes. Alors que les chinois ne donnent pas leur rein, en accord avec leurs croyances, les greffes en faveur de malades se multiplient. En effet, les greffes se font parfois en quelques jours seulement. Une contradiction qui laisse supposer un vaste trafic d’organes dans le pays. Pire, certains malades connaissent à l’avance la date de leur transplantation. Ce qui signifie que les hôpitaux connaissent à l’avance la date des futurs décès des donneurs.
Le journal China Tribunal a recueilli plusieurs témoignages. Dont celui de la famille de He Lifiang, un Falun gong. Arrêté, il est mort au bout de deux mois de détention seulement. Sa famille a pu voir son corps et a a lors remarqué une incision recousue sur sa poitrine et une autre encore ouverte dans son dos. Des zones pour prélever des organes comme un poumon ou encore un rein. Interrogée, la police a expliqué qu’il s’agissait d’opérations dues à l’autopsie. Un argument qui ne convainc pas la famille He Lifiang. En effet, elle est convaincue que He a été victime du trafic d’«organes halal».