On connaissait l’islamophobie à l’école, puis au travail, puis sur les lieux publics et maintenant sur les écrans de cinéma ! La rentrée cinéma vient compléter le cycle infernal anti-musulman.

Ce mercredi 11 septembre, le 12ème anniversaire des attentats de New-York, était également l’occasion de voir à l’affiche deux nouveautés qui n’ont pour objectif que de salir l’islam et les musulmans français qui le pratique.

Vous avez sûrement entendu parler du film «Voyage sans retour» avec Samy Naceri. Ce dernier a tenté tant bien que mal de faire interdire la sortie du film, l’affaire est actuellement devant les tribunaux car l’acteur s’est dit trompé par le réalisateur et la production. L’histoire est celle de Kad, un maghrébin qui va rejoindre une filière terroriste en Afghanistan.

« Moi, pour 50 balles j’te fume ! » avait déclaré Samy Naceri sur le plateau de « Tout le monde en parle » de la girouette Thierry Ardisson, à Salman Rushdie un anti-islamiste connu mondialement et dont la tête est mise à prix. Un acte spontané, certes, mais qui remet le temps d’un instant les choses dans l’ordre.

Le second film, peut-être le pire des deux, est le très contesté «Rock the casbah». En effet, la réalisatrice est elle-même maghrébine ancienne élève du lycée Lyautey à Casablanca et issue de la bourgeoisie complètement déconnectée de la réalité marocaine (très pratiquante). Rappelez-vous, elle avait déjà réalisé « Marock » en 2005, racontant l’histoire d’amour immonde entre une adolescente musulmane et un juif dans ce même lycée Lyautey.

Dans ce nouveau film, elle remet en scène la même actrice (qui est sa propre cousine), et tente de dénigrer le Maroc et de cracher sur les valeurs islamiques du pays à travers une histoire jalonnée de concepts occidentaux. Pour ceux qui ne le savaient pas, cette dernière est mariée à Alexandre Aja, un grand islamophobe natif de l’Algérie colonisée.

Le film est une «saleté cinématographique» qui n’aurait jamais dû voir le jour. Que feraient-ils si l’islam n’existait pas ? De quoi seraient nourris leurs débats ? Si les musulmans sont si souvent pris pour cible, c’est qu’au fond de chacun d’entre eux, ils savent et sentent qu’ils sont dans l’égarement.

Que Dieu nous guide et les guide également.

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