Le souverain milliardaire de Dubaï, Sheik Mohammed al-Maktoum, a partagé il y a 2 jours un poème énigmatique sur les « sabres de la douleur » alors que la Haute Cour a fixé au mois de novembre la date de sa bataille pour le divorce.
La princesse Haya Bint Al Hussein a demandé une ordonnance de protection du mariage forcé pour ses deux enfants, ce qui pourrait les empêcher d’être emmenés à l’étranger.
Aujourd’hui, la princesse Haya, âgée de 45 ans, a assisté à la deuxième journée d’audience préliminaire à la Cour royale de justice de Londres, où il a été décidé que l’audience au complet se tiendrait le 11 novembre.
Le président de la Division de la famille, Sir Andrew McFarlane, a autorisé les médias à annoncer que la princesse Haya avait demandé à être sous tutelle de leurs enfants et à obtenir une ordonnance de non-molestation.
Les détails de l’ordonnance demandée par la princesse Haya ne sont pas connus, mais elle affirme avoir fui Dubaï avec ses deux enfants pour se cacher au Royaume-Uni «dans la peur». Le cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum a demandé le «retour immédiat» de ses enfants aux Émirats arabes unis.
L’audience de mercredi aura lieu alors que Cheik Mohammed, l’un des hommes les plus riches du monde, a partagé un poème en arabe intitulé «sabres de la douleur» qui décrit la manière de surmonter les défis de la vie.
On ne sait pas si Cheikh Mohammed a écrit lui-même le poème, mais beaucoup ont prétendu que son message sur Instagram de juin visait sa femme parce qu’il contenait également les mots «trahison».
La princesse Haya, sa sixième épouse, a été vue pour la première fois depuis des mois à la cour royale de justice de Londres.
Vêtue d’une robe, de boucles d’oreilles serties de diamants et d’un sac de designer, elle a été rejointe par la baronne Shackleton, avocate spécialisée dans le divorce, surnommée «Steel Magnolia», qui a géré la scission du prince Charles entre la princesse Diana et le divorce Paul McCartney-Heather Mills.
Le tribunal de la famille a appris que la princesse Haya avait demandé, en vertu de la loi britannique, une «ordonnance de protection du mariage forcé» pour l’un de ses enfants.
C’est conçu pour protéger les personnes susceptibles d’être «menacées d’un mariage forcé» et d’empêcher qu’elles ne soient expulsées du Royaume-Uni, selon le site Web du gouvernement. La princesse éduquée à Oxford a également demandé une «ordonnance de non-molestation» destinée à aider les victimes de violence domestique.