« Le blasphème ce n’est pas la liberté » un prêtre s’oppose aux caricatures face à Hassan Chalgoumi qui les défend - VIDEO

sur CNews, Jean-Marc Morandini proposait un dialogue entre l’imam de Drancy Hassen Chalghoumi et le père Michel Viot, prêtre catholique du diocèse de Blois, après l’attentat survenu hier à Nice.

Questionné sur sa position sur le droit au blasphème, le prêtre a surpris son auditoire en s’opposant catégoriquement ce droit qui selon lui est une chose « méchante ».

 

« A l’époque, il n’y avait pas de communautarisme parce que la laïcité était une neutralité bienveillante, apaisée, ce n’est plus le cas aujourd’hui. » déclare le prêtre.

Jean-Marc Morandini lui demande pourquoi il n’y a plus cette paix aujourd’hui, ce à quoi le père Michel Viot répond « c’est la faute à une l’évolution d’une certaine intelligentsia française qui s’est crue très maline de revenir à l’époque des Lumières où on était anti-chrétiens et anti-religieux. »

« Je suis contre le blasphème parce qu’on blesse les gens inutilement. C’est idiot d’aller blesser les gens, c’est méchant. Vous savez Portalis disait : « Quand on attaque les gens dans ce qu’ils ont de plus sacrés et de plus sains on est pas loin de la barbarie. Le blasphème ce n’est pas la liberté »

Republication des caricatures de Charlie Hebdo

À la veille de l’ouverture du procès des attentats de janvier 2015, Charlie Hebdo republie les caricatures du Prophète Mohammed ﷺ qui avaient heurté tous les musulmans du monde.

« Nous ne nous coucherons jamais. Nous ne renoncerons jamais », justifie le directeur de l’hebdomadaire satirique, Riss, dans le numéro dont la couverture reprend ces dessins.

« On nous a souvent demandé depuis janvier 2015 de produire d’autres caricatures de Mahomet. Nous nous y sommes toujours refusés, non pas que cela soit interdit, la loi nous y autorise, mais parce qu’il fallait une bonne raison de le faire, une raison qui ait un sens et qui apporte quelque chose au débat », a expliqué la rédaction du journal, dans un article publié au sein du même numéro.

« Reproduire cette semaine de l’ouverture du procès des attentats de janvier 2015 ces caricatures nous a alors semblé indispensable », ajoute l’équipe de Charlie Hebdo.

Ces caricatures avaient provoqué, quelques mois après leur publication initiale au Danemark, des manifestations violentes dans plusieurs pays musulmans, et leur reprise par l’hebdomadaire français, qui lui a valu à l’époque de nombreuses critiques. Le journal avait publié par la suite d’autres caricatures du Prophète ﷺ.

La dernière caricature publiée par le journal avait figuré en une du numéro suivant. Elle montrait le Prophète ﷺ portant une pancarte «Je suis Charlie», accompagné du titre «Tout est pardonné».

 

2 Commentaires

  1. Ce chelghoumi est un vendu sans foi. Ce faux dévot caresse dans le sens des poils pour plaire et être gratifié par ses maitres les gaulois. Honteux pour un pareil pseudo musulman.

  2. Il a que la calotte blanche sur le crane qui confirme le faux devot. Il n’a rien de particulier sinon faire plaisir a ses maitres comme le chiens avec sa queue. Il a compris que caresser dans le sens du poil il aura son os.

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