Deux jeunes ont été interpellés jeudi par la gendarmerie royale de Skhirat au Maroc pour avoir rompu le jeûne en journée et ne pas avoir respecté l’état d’urgence sanitaire.
En effet, c’est ce que le quotidien Assabah rapporte. Alors que la période de confinement n’est pas encore levée au Maroc, ses habitants passent donc le mois de Ramadan dans leurs maisons. D’ailleurs, il est impossible de se réunir en famille pour rompre le jeûne. En raison du couvre-feu mis en place le soir.
Concernant les deux jeunes, la scène s’est passée jeudi dernier en pleine journée. Ces derniers ont été aperçus en flagrant délit. Ils étaient en train de fumer des cigarettes et boire des sodas en plein centre-ville. Ils ont aussitôt été déférés par le service judiciaire de la gendarmerie royale.
C’est le quotidien Assabah qui rapporte ces informations. D’après ce dernier, le parquet a ordonné le prolongement de la garde à vue. Et ce, pour les besoins de l’enquête.
Ensuite, le tribunal de première instance de Témara a décidé de présenter les deux jeunes devant le juge chargé des affaires de flagrant délit.
En raison de la pandémie, le procès s’est tenu à distance. L’acte d’accusation est le suivant : flagrant délit de rupture du jeûne et aveu spontané des mis en cause quant au non-respect du ramadan et de l’état d’urgence sanitaire.
Pour rappel, une telle infraction au Maroc conduit le coupable devant le procureur du roi et reçoit une sanction fixée par le code pénal.
Quand on voit le nombre de musulmans qui ne font pas le jeune, soit en invoquant leurs menstruation, une maladie, un voyage mais aussi en cachette, la présence d’une sanction pénale est le propre d’un pays à charia autoritaire.
En Maroc, où l’Islam est appliqué avec plus de tolérance, il y aurait lieu d’y repenser pour en faire un pays un peu plus moderne…
Si on pense au Musulman en Norvège ou en Suède, où le soleil se lève en février et se couche en septembre, on voit bien qu’il s’agit là de symboles là pour guider, non pour être appliqués à la lettre…
L’homme doit s’adapter à sa religion et non l’inverse.
Quelque soit le lieu de realisation du ramadan celui ci doit être appliqué conformément à la sunnah. Que dire des astronautes qui ont fait le ramadan dans l’espace ? Une fatwa existe à ce sujet il faut la suivre.
Le soleil se couche quand même et l’on pourrai interpréter cela par le fait qu’il nous soit conseillé de descendre plus vers le.sud. la terre est vaste, rien ne nous empêche de voyager. Dieu nous a donné une raison, mais l’homme ne raisonne pas.