L’affaire remonte à l’été 2019 et connaît depuis de multiples rebondissements. Leila N. accuse des policiers de l’avoir frappée violemment alors qu’elle les avait appelés pour régler une bagarre de rue. Depuis, Leila a décidé de porter plainte auprès de l’IGPN afin de faire éclater lé vérité sur cette affaire.
Et cela ne s’arrête pas là puisqu’un des agents de la BAC accuse ensuite Leila de violences volontaires. Mais heureusement, cette dernière a été innocentée le mois dernier de ces accusations.
Et depuis, Leila a décidé de contre-attaquer. En effet, elle accuse les agents de la BAC d’avoir tenté de cacher les violences infligées par l’un d’eux. Alors que les faits se sont déroulés il y a un an, Leila, 43 ans, ne décolère pas. Ainsi, elle affirme que plusieurs policiers du commissariat du XVIIe arrondissement de Paris ont tenté de « travestir » voire « dissimuler » les coups portés à son encontre.
Elle explique :
«Je suis passée en un instant du statut de témoin à celui de victime.»
Leila raconte :
« Ce soir-là du 19 août 2019, pour je ne sais quelles raisons, ma vie va presque basculer. Je me retrouve agressée non pas par un agresseur mais par un policier. »