Ce père musulman tatar de Crimée pleure pour son fils de 17 ans, qui a été la première victime de l’attaque russe contre le village de Semihatka près de la ville de Genicesk à Kherson, en Ukraine.
“I speak Tatar. I have nothing to say to the Russians. May Allah save us from these [Russian] devils.”
This Crimean Tatar Muslim father cries for his 17-year-old son, who was the first victim of Russia’s attack on the village of Semihatka near Genicesk town of Kherson, Ukraine. pic.twitter.com/5p0knCz7EL
— CJ Werleman (@cjwerleman) February 27, 2022
« Je parle Tatar. Je n’ai rien à dire aux Russes. Qu’Allah nous préserve de ces démons [russes] ».
Conflit Russie-Ukraine
Le président russe Vladimir Poutine a lancé il y a six jours une invasion de l’Ukraine. Alors que les sanctions internationales pleuvent, il a annoncé dimanche mettre en alerte «la force de dissuasion».
Alors que Paris a annoncé le déploiement de 500 militaires en Roumanie au sein de l’OTAN, Emmanuel Macron veut tenir ses armées en vigilance permanente.
«J’ai confiance dans votre entraînement individuel et collectif, votre cohésion et votre efficacité opérationnelle reconnue», a-t-il ainsi souligné. Avant d’ajouter : «Je sais pouvoir compter sur vous pour faire preuve, dans l’exécution de vos missions, d’une grande vigilance et de la retenue nécessaire lors des possibles interférences».
«Ensemble, nous ferons face à cette crise, maintiendrons nos postures permanentes» et «poursuivrons nos engagements opérationnels», a poursuivi Emmanuel Macron.