Les préjugés contre l’Islam, les musulmans, la Charia coulent de beaux jours grâce à une désinformation savamment organisée et planifiée. Qu’elle soit politique ou médiatique, la manipulation a pour objectif de créer la confusion et en ce qui concerne l’Islam le but est largement atteint.
Les stéréotypes selon lesquels les femmes musulmanes sont «soumises, arriérées, archaïques, battues, sans voix, ignorantes» tournent en boucle sur vos écrans de télévision et aujourd’hui chacun estime connaître l’Islam à sa juste valeur, c’est-à-dire à travers les chaines info et médias.
Dans cet extrait d’une émission australienne, le mépris affiché à l’égard des femmes arabes considérées comme de pauvres victimes d’un système patriarcal, qui ont besoin du secours des féministes occidentales libérées du joug masculin, est flagrant.
Les deux intervenantes, l’une musulmane et l’autre non se lancent dans un discours enflammé sur la Charia.
A la question de savoir: « Donc vous pouvez soutenir la Charia et être enceinte en même temps ? Oh Arrêtez ! » Nous avons d’ores et déjà compris que les préjugés ont encore un long avenir devant eux.
Face à cette ignorance abyssale, la musulmane va démonter la rhétorique occidentale qui veut que les femmes musulmanes soient prisonnières d’un carcan patriarcal et inégalitaire, sous-entendu «inférieur» en opposition à la «civilisation occidentale moderne» qui émancipe la femme. Elle va clouer le bec à l’islamophobe dont la rage, qu’elle a du mal à contenir, n’a d’égale que sa haine de l’Islam, allant même jusqu’à proposer de déporter du pays tous ceux qui soutiennent la Charia. Un langage qui rappelle étrangement une page sombre de l’histoire.
Une animosité qui n’est toutefois pas passée inaperçue, le présentateur va interpeller la non-musulmane en lui demandant: « Acceptez-vous le fait que certains de vos propos peuvent être perçus comme haineux ?»
Ecoutez sa réaction.
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Comment réduire au silence les islamophobes en 1 minute chrono !
Publié par Halalbook, le réseau social des musulmans sur lundi 13 mars 2017
