Dans le cadre d’un gala caritatif organisé samedi à Paris par l’ONG Syria Charity, le milieu offensif du Bayern Munich, Franck Ribéry a montré qu’en plus d’avoir du talent, il pouvait aussi se montrer d’une extrême générosité.
Accompagné de son épouse Wahiba, Franck Ribéry n’est pas venu les mains vides au lancement du nouveau projet éducatif «Smile Center» initié par l’association humanitaire. C’est avec un chèque d’un montant de 150.000 euros offert à l ‘ONG que l’ancien international français espère redonner un peu d’espoir aux jeunes Syriens plongés dans l’enfer de la guerre.
L’association Syria Charity s’occupe depuis des années des enfants Syriens abandonnés à leur triste sort après avoir tout perdu dans le conflit. Un semblant de vie sans maison et sans avenir que l’ONG tente de combler en créant notamment des écoles et depuis peu un centre éducatif qui leur est totalement dédié et qui est une première étape vers une amélioration de leur qualité de vie.
L’association a pu réunir grâce à la générosité des donateurs la coquette somme de 200.000 euros. Le responsable administratif financier de Syria Charity n’a pas caché sa joie: « Nous avons collecté en tout, en terme de promesses de dons, un peu plus de 200 000 € », a-t-il déclaré heureux et satisfait.
Les Ribery qui sont les heureux parents de quatre enfants sont évidemment sensibles au sort peu enviable des enfants Syriens et c’est sans hésitation qu’ils ont répondu présent à l’invitation tout en sachant se montrer généreux.
« C’est avec émotion que nous vous faisons partager cette nouvelle aventure qui nous tient, mon épouse et moi, à cœur », a indiqué Franck Ribéry sur son compte Instagram.
« On ne peut que soutenir cette noble cause via l’association Syria Charity. Chaque enfant dans le monde a le droit au bonheur et si nous pouvons, ne serait-ce qu’essayer de leur offrir un sourire », a-t-il écrit.
« Nous sommes tous concernés par cet appel à l’aide .. ils ont besoin de nous … ils sont les parents de demain… Merci à @syriacharity de nous permettre d’être acteurs de leur minime bonheur », a conclu celui que les Allemands surnomme «Kaiser Franck» (l’Empereur Franck).
