La compagnie Coca Cola aux prises avec la campagne de boycott ne sait plus à quel saint se vouer. Faisant preuve d’imagination jusqu’à “plus soif”, la célèbre marque caresse dans le sens du poil dans l’espoir de rebooster ses ventes.
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Après avoir attribué des prénoms à consonance arabe à ses bouteilles et canettes, voilà qu’elle recommence dans une nouvelle opération promotionnelle d’affubler ses bouteilles de petits noms, tels « Farah », « Fati », « Yanelle » etc… destinée aux populations musulmanes.
Le boycott largement suivi, handicape la firme américaine qui se trouve confrontée à une crise sans précédant. En Espagne, après à la fermeture de quatre des onze usines d’embouteillage et les licenciements qui accompagnent généralement ce genre de décision, les ventes ont drastiquement chuté grâce à la solidarité des espagnols qui ont scandé en cœur : « Si Madrid ne produit pas, Madrid ne consomme pas ».
Mais au-delà de l’aspect économique, c’est le côté politique qui a entraîné la disgrâce de Coca Cola à cause notamment de son soutien financier à Israël.
Le monde musulman, dans une parfaite cohésion inhabituelle, s’est accordé pour bannir la marque de ces échopes et de ses frigos. De la Turquie à la Malaisie en passant par l’Europe, les groupes pro-palestiniens appellent au boycott des sodas.
La coopération entre la firme et Israël ne laisse aucun doute selon le site Innovative Minds, en effet Coca Cola serait un fervent défenseur de l’état hébreu et ceci depuis 1966 et aurait des liens étroits avec La Chambre américaine de Commerce Israël à Atlanta.
Une bonne raison pour continuer le combat car à défaut de tanks, le boycott semble constituer un bon moyen de lutte qui peut être d’une efficacité redoutable.