L’attentat terroriste mené par Seifeddine Rezgui sur la plage d’un hôtel à la station balnéaire Port al-Kantaoui à Hammam Sousse (Tunisie) suscite de nombreuses interrogations.
De nouveaux éléments de l’enquête du drame, ayant causé la mort de 38 personnes, révèlent que le principal suspect était sous l’influence de la drogue au moment des faits. Pire encore, ce dernier aurait souhaité faire encore plus de victimes à l’aide d’un explosif qu’il n’aurait pas réussi à déclencher.
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Le quotidien britannique The Daily Mail met l’accent sur des éléments très perturbants… En effet, selon l’envoyé spécial sur place, les médecins auraient détecté lors de l’autopsie du corps du tueur un stimulant proche de la cocaïne.
« Il est prouvé que le terroriste a usé de certaines drogues, celles que les dirigeants de Daesh donnent à leurs tueurs pour mener ce type d’attaques. Ils ne comprenaient certainement pas ce qu’il était en train de faire sur le moment », affirme le Daily Mail.
Selon les survivants interrogés par la police locale, Seifeddine Rezgui se réjouissait du massacre des 38 victimes avec un fusil automatique AK-47, sur la plage de Sousse, vendredi dernier.
« Il prenait des photos des corps et rigolait », a témoigné un des survivants britanniques lors de l’assaut terroriste.
La police tunisienne procède toujours à des interrogatoires de sept personnes suspectées d’avoir été complices de Seifeddine Rezgui. Deux suspects, Mohamed ben Abdallah et Rafikhe Tayari, ont été décrits comme « particulièrement dangereux ».
