La propagande qui fait partie de la communication politique a pris une ampleur inconsidérée ces derniers mois, telle la pieuvre qui étend ses tentacules.
Le système éducatif n’a pas été épargné par la contamination, comme on a pu l’observer suite aux graves accusations portées à l’encontre d’enfants de confession musulmane par le corps professoral.
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Loin de laisser tomber, l’éducation nationale persiste dans l’ignominie en mettant à disposition des petits élèves des livres scolaires ayant trait aux «us et coutumes» de l’Islam.
Enfin une occasion de donner une autre image de l’Islam que celle véhiculée par les médias pourrions-nous penser ? Que nenni ! Si l’idée semble intéressante aux premiers abords, elle l’est beaucoup moins lorsque l’on constate sous quel angle l’Islam est traité. Car plutôt que d’expliquer les préceptes de l’Islam, ses piliers fondamentaux ou mettre fin aux idées préconçues donnant une image négative des musulmans, c’est le «djihad» qui retient toute l’attention des éditeurs des manuels scolaires, nous apprend le site d’Islam&Info.
Belin, Hatier et Nathan sont accusés par certains parents d’élèves d’endoctriner les jeunes étudiants en leur imposant des idées construites sur des mensonges. La notion de « djihad » pervertie et défigurée prend le raccourci facile de « guerre », expliquée par un seul verset du Coran. L’Islam raconté en «10 leçons» avec ses conquêtes et ses guerres, ne laisse planer aucun doute sur les réelles intentions des auteurs.
La traduction occidentale de « djihad » en « Guerre sainte » ne l’a été que dans un dessein bien précis et nous en connaissons les effets néfastes.
Le « Djihad » dans le Saint Coran prescrit à l’être humain de lutter et de faire l’effort constant afin d’atteindre et de demeurer dans le droit chemin.
La manipulation des masses commence dès le plus jeune âge, faire de l’Islam une religion de guerre et de violence semble être le nouvel objectif de l’Education nationale.
