Israël qui se targue d’être un pays démocratique n’en accepte pas moins d’être dirigé par ses “rabbins” et ses fanatiques religieux qui refusent de manière catégorique une quelconque assimilation avec une autre « race».
Les sionistes ne rigolent pas avec ces choses-là, ils sont totalement réfractaires à tout mélange qui pourrait venir souiller “le peuple élu”.
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Le groupe ultra-nationaliste juif Lehaya ne se contente pas de grands discours, il agit en mettant un nouveau service téléphonique à la disposition du public israélien qui est invité à dénoncer les juifs qui seraient amenés à frayer avec des non-juifs, des «goyim» ou ceux encore qui souhaiteraient se désintoxiquer de toute addiction « goy».
Le slogan aguicheur est très explicite « Si vous êtes en contact avec un goy et avez besoin d’aide, appuyez sur la touche 1 »;
« Si vous connaissez une fille qui fréquente un goy et que vous souhaitez l’aider, appuyez sur la touche 2. »;
« Si vous connaissez un goy qui se fait passer pour un juif ou qui harcèle une femme juive, ou [si vous connaissez] des lieux où il y a un problème d’assimilation, appuyez sur la touche 3 », voilà ce que l’on peut notamment entendre lorsque l’on appelle sur leur ligne.
Le nombre d’appel reçu chaque jour montre à quel point un tel service était attendu par une partie de la population, tous les jours des juifs dénoncent leurs amis ou leur famille en relation avec des non-juifs explique le responsable du groupe Lehava, Benzi Gopstein.
La mission que s’est fixée l’association dont le nom en français signifie « Empêcher l’Assimilation en Terre Promise » est simple, proscrire toute relation mixte qui est un péché comme l’explique l’un des membres au The Daily Mail : « Si tu te maries avec un non-juif, cela signifie simplement “Je m’en fous de ce que Dieu dit.” »
Le groupe Lehava n’en est pas à ses débuts, régulièrement il mène des campagnes dont le but est de dénoncer les juifs se fourvoyant avec des «Goyim». Il a même publié sur son site internet une «liste noire» avec le nom des femmes juives jugées «traitresses» pour avoir transgressé leur code de conduite, notamment la top-modèle israélienne Bar Rafaeli accusée de « diluer la race juive » et de « mettre en danger les générations futures » à cause de sa liaison avec l’acteur Leonardo Dicaprio.
Un racisme anti-juif poussé à l’extrême mais qui ne semble pas choquer outre mesure les pourfendeurs habituels d’un «racisme anti-blanc».
