La LICRA, anciennement LICA (Ligue internationale contre l’antisémitisme) a toujours été plus encline à combattre l’antisémitisme et semblait beaucoup moins soucieuse du racisme. Ce n’est que beaucoup plus tard que la préoccupation de se faire connaître et de se donner une légitimité, a incité la ligue à ajouter le «R» pour Racisme.
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Hormis ses stratégies d’influence au sein du gouvernement, la propagande qu’elle a mis en œuvre pour faire de la moindre critique à l’égard d’Israël, un acte antisémite en dit long sur ses intentions perfides. Museler, censurer, dompter, sont la clé de voûte de la réussite de l’entreprise de propagande sioniste.
Imposant le Juif comme étant la seule victime d’une haine ethnique et religieuse, la LICRA s’est faite donneuse de leçons sur Twitter.
Pour la ligue on ne mélange les torchons et les serviettes ! Judéophobie et Islamophobie, mis à part la rime, n’ont rien à voir. Dans le premier cas, il s’agit d’une haine à l’égard des juifs et du judaïsme, par contre pour l’islamophobie, les musulmans ne seraient nullement visés, seule la religion serait décriée.
Une explication qui a déclenché les commentaires ironiques de plusieurs internautes, dont l’un qui s’est spécialement illustré en mouchant royalement la donneuse de leçons.
Embarrassée par l’aparté, la LICRA a bien tenté des excuses, auxquelles on ne croit pas une seconde, mais trop tard, le masque est tombé.
