Selon un communiqué publié par l’agence officielle MAP le 4 août, la Wilaya de Casablanca jugerait l’activité de Uber illégale au Maroc. Selon la préfecture, « la société n’a fait la demande d’aucune licence régie par la loi ». « L’activité d’Uber Maroc n’est pas autorisée et expose toutes les personnes qui y travaillent ainsi que les chauffeurs à des sanctions administratives et juridiques, » précise t-on dans le communiqué.
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Ainsi, la préfecture assure qu’elle prendra « toutes les mesures nécessaires pour garantir la paix sociale dans le secteur des transports ».
Joint par Telquel.ma, un responsable à Uber Maroc affirme que la société propose « un service de mise en relation entre des particuliers et des professionnels du transport via une application. Uber ne détient pas de voitures de transport et n’embauche pas de chauffeurs. Ce sont nos partenaires qui détiennent les licences de transport délivrées par l’État. »