Le pseudo philosophe après des mois de silence a trouvé le moyen de revenir sur l’avant scène, enfilant son habituel habit de victime il est de toutes les Unes et les débats s’enchaînent sur sa piètre performance après s’être ridiculisé Place de la République.
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Certains y ont même trouvé matière à nous ressortir la bonne vieille rengaine de l’antisémitisme comme la chroniqueuse et par ailleurs conseillère de Ségolène Royal qui a déclaré lundi lors de l’émission radio les Grandes Gueules sur RMC: « Il faut dire la vérité, Finkielkraut a été pris à partie parce qu’il est Juif. J’assume ce que je dis. C’est aussi une des raisons pour lesquelles il s’est fait expulser. »
Pourquoi ne peut on voir en ce personnage imbu de lui-même qu’un triste sieur qui a réussi, à force de polémiques nauséabondes, se mettre une grande partie de la population à dos ?
C’est ce qu’a tenté de nous expliquer ce lundi Yannick Jadot sur BFMTV. Le militant écologiste est revenu sur les critiques qui ont fusé à l’encontre du mouvement “Nuit debout” après l’incident qui a mis en scène Finkielkraut Place de la République.
Pour le député européen EELV si ce dernier s’est fait siffler et huer pour finalement être chassé de la place c’est parce que « Finkielkraut est un intellectuel aigri qui passe son temps à essentialiser certaines communautés et à insulter tout le monde ».
Bien sûr que les choses auraient pu se passer autrement et si Yannick Jadot regrette les injures à l’encontre du philosophe, il estime néanmoins qu’il ne s’agit pas non plus de « l’événement de la semaine ».
Aujourd’hui Finkielkraut récolte ce qu’il a semé, il ne peut s’en prendre qu’à lui-même.
