La barbarie des israéliens ne connaît aucune limite. Durant l’été 2014, trois extrémistes juifs ont kidnappé Mohamed Abu Khdeir un jeune palestinien qu’ils ont brûlé vif. Un acte d’une rare cruauté qui a entraîné l’embrasement des Territoires occupés.
Le procès des suspects, des radicalistes juifs arrive à son terme. Mercredi 13 janvier, le procureur a requis la peine maximale contre deux des auteurs, mineurs au moment des faits, le troisième un majeur a réussi à se faire passer pour un fou et sera soumis à un examen psychiatrique.
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La famille de l’adolescent brûlé vif espère que les assassins de leur fils écoperont de la peine maximale, leur avocat Mohannad Gbara a exhorté la Cour à prendre des mesures sévères pour sanctionner les tueurs.
« Ces tueurs se sont levés durant l’audience et ont demandé pardon à la famille, devant la Cour. Mais la famille a refusé ce pardon. Comme l’ont dit les parents de Mohammed Abu Khdeir, un simple mot ne pourra pas ramener leur fils. Nous demandons à la Cour d’appliquer la peine maximale prévue par la loi israélienne ».
La partie adverse a demandé au Tribunal une peine réduite rappelant le jeune âge des accusés, mineurs au moment de leur horrible méfait et omettant de préciser l’âge du Palestinien lâchement brûlé. Le troisième accusé, un adulte à l’origine de l’infâme barbarie a plaidé la folie espérant ainsi échappé à la sentence. Le verdict devrait tomber début février.
Si l’état hébreu souhaite garder un semblant de crédibilité face à à la communauté internationale, il serait grandement temps qu’il condamne et emprisonne les auteurs les exactions perpétrées par les extrémistes radicaux et l’armée israélienne à l’encontre de la population Palestinienne.
