Gérard Arnoux, président du comité de veille et de la sécurité aérienne et ancien commandant de bord était convié sur le plateau du Grand Journal jeudi soir.
Invité à donner son avis sur la tragédie de l’Airbus A320, il n’a pas mâché ses mots en faisant état des incohérences par rapport à la version officielle détaillée par le procureur de la République de Marseille.

L’enquête sur les circonstances du crash de l’Airbus s’est dirigée vers la personnalité du copilote Andreas Lubitz, qui aurait volontairement crashé l’avion, une version qui laisse l’ancien pilote dubitatif.

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Selon lui, trois éléments ne collent pas à la version officielle:

– Il certifie qu’il est impossible d’entendre la respiration des pilotes à l’intérieur du cockpit. Le bruit est tel que les pilotes ont demandé à la compagnie de leur fournir un casque anti-bruit.
– Concernant le bruit lors de l’activation de la molette pour la descente de l’avion, une fois de plus, il dément formellement cette possibilité, assurant que l’activation n’émet aucun bruit.
– La dernière anomalie relevée par Gérard Arnoux concerne l’alarme de la porte, qui aurait, selon lui dû émettre un son strident de 30 secondes si le co-pilote avait refusé l’accès au commandant. Le procureur de la République n’ayant jamais fait allusion à cette alarme.

Autant d’omissions ou d’incohérences qui restent à l’heure actuelle inexpliquées. De plus en plus de journaux commencent à émettre des doutes sur la version officielle du crash de l’A320. Suicide du co-pilote ou une autre thèse gardée secrète par le gouvernement ? L’avenir nous révélera peut-être un jour son secret.

Allahou a3lem

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