L’arrogance des autorités israéliennes atteint des limites que nul autre n’avait osé auparavant. Les exactions commises à l’encontre des palestiniens ne suffisent plus, les soldats israéliens s’en prennent aussi à tous ceux qui pourraient témoigner des atrocités dont ils sont responsables.
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Le 25 septembre dernier, ce sont deux journalistes de l’AFP qui ont fait les frais de leur violence, Andrea Bernardi, vidéaste et Abbas Momani, photographe ont été agressés par l’armée la plus « morale » du monde.
Hier c’était au tour d’une journaliste à Issawiya, un village arabe situé dans un quartier de Jérusalem, d’être visée par la brutalité israélienne.
Une répression qui tend à croître dans l’indifférence totale de la communauté internationale et comme le dit le proverbe : «Celui qui fait la sourde oreille quand le malheureux appelle à l’aide, appellera lui-même à l’aide sans obtenir de réponse»
