Quelle est la femme qui n’a pas été au moins une fois dans sa vie confrontée à la désagréable sensation d’être serrée comme une sardine dans un bus, un métro ou un train ?
Quand le métro est bondé c’est le moment choisi par les pervers pour opérer en toute quiétude, n’hésitant pas à coller les femmes sachant pertinemment qu’elles n’oseront pas se plaindre. Ces dernières sont quasi dans l’impossibilité de réagir, soit par peur de représailles, soit trop honteuses du regard des autres.
Les exhibitionnistes sont conscients du pouvoir qu’ils exercent sur les femmes durant ce trajet, il est rare qu’ils soient condamnés pour leurs actes.
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En Turquie comme en France les bus sont munis de caméras de surveillance qui ont pour objectif de pister le comportement agressif de certains usagers. Mais ce jour là, un homme de 34 ans se frotte de trop près à une passagère qui plutôt que de feindre n’avoir rien vu, réalise au contraire les gestes obscènes du pervers à son égard et le gifle très violemment.
Sauf qu’au lieu de se contenter d’une bonne claque pour lui remettre les idées en place, elle lui assène coup sur coup, les autres passagères qui se rendent compte de ce qui se trame la soutiennent en frappant à leur tour l’exhibitionniste qui ne sait plus où se cacher. A coups de baffes et de coups de pieds, l’homme est humilié et tente de fuir quand le bus s’arrête.
Malheureusement pour lui, les femmes turques ne sont pas du genre à abandonner en si bon chemin, car plusieurs femmes le rattrapent et le livrent à la police.
Voilà des femmes courageuses qui ont compris que l’union fait la force et le prochain pervers réfléchira à deux fois avant de exhiber.
