Hier, Idriss Sihamedi, responsable de l’ONG dissoute BarakaCity, s’est exprimé devant dix journalistes pour éclaircir plusieurs points.
Sur son compte Twitter, il a d’ailleurs expliqué :
« Alors que je devais être jugé pour « cyber harcèlement », de nombreux médias ont voulu comprendre. Je m’exprime face à 10 journalistes. »
Alors que je devais être jugé pour « cyberharcèlement », de nombreux médias ont voulu comprendre.
Je m’exprime face à 10 journalistes.Partie 1
Source Media777 pic.twitter.com/WtwumvuFWZ
— Idriss Sihamedi (@IdrissSihamedi) December 6, 2020
Dans cette vidéo, Idriss Sihamedi explique :
« Le chef d’accusation et le cyber harcèlement pour soixante tweets postés en neuf jours. Moi je pose des questions, j’interpelle si vous voulez. Et il faut savoir que les questions sont d’intérêt public. «
Et Idriss Sihamedi de poursuivre :
« Moi, je ne suis pas invité sur les plateaux télé. Si on m’invite sur un plateau télé pour pouvoir expliquer et développer ma position, il n’y a pas de problèmes. mais à défaut d’avoir des réponses, je pose des questions, très simplement. Et je pose des questions qui sont quand même pertinentes. »
Il a par ailleurs précisé que l’association n’avait rien à voir avec cette affaire judiciaire.
Sur son compte Twitter, Idriss Sihamedi a également publié un passage de l’interview qui a été ensuite censuré. La question était posée par BFTMV et la réponse ne semblait pas convenir.
BFMTV part 2 ?? pic.twitter.com/W8s2XKSIE0
— Idriss Sihamedi (@IdrissSihamedi) December 6, 2020
D’ailleurs, l’humanitaire a expliqué sur son compte Twitter :
« BFMTV pose ses questions sur « mes tweets ». La réponse ne correspond pas au profil que la chaîne souhaitait dresser. Ce passage est censuré. »
