[Vidéo] A 5 secondes près, il échappe à la mort !

Une caméra de surveillance a filmé une voiture fonçant dans une pharmacie, nous remarquons qu’à quelques secondes près, l’homme derrière le comptoir aurait pu se trouver dans la trajectoire du véhicule avec les conséquences que cela implique.
Au dernier moment il se déplace évitant ainsi une mort certaine. Mais est-ce vraiment le cas ? Devons-nous parler de miracle, de sa bonne fortune ou encore d’un concours de circonstances ?

Ne serait-ce pas plutôt, comme nous le dit Allah (soubhanou wa ta’ala) dans la Sourate 3, verset 145 : « Personne ne peut mourir sauf par la permission d’Allah, et au moment prédéterminé. Quiconque veut la récompense d’ici-bas, Nous lui en donnons. Quiconque veut la récompense de l’au-delà, Nous lui en donnons, et Nous récompenserons bientôt les reconnaissants ».

Chacun de nous possède des anges attitrés de la mort qui attendent que notre temps prédestiné soit accompli et lorsque le moment de mourir arrive, ces anges prennent livraison de notre âme.
Nul ne peut échapper à la mort lorsqu’elle se présente, jeune, âgé, homme, femme, enfant, elle ne fait aucune distinction. Face à elle, il n’y a pas d’échappatoire, son compte à rebours ne connaît ni panne ni défection, qu’elle que soit l’endroit où nous nous trouvons, elle est là et attend notre heure.
Dis: « La mort que vous fuyez va certes vous rencontrer. Ensuite vous serez ramenés à Celui qui connaît parfaitement le monde invisible et le monde visible et qui vous informera alors de ce que vous faisiez .» (Sourate al-Jumua: 8)
« Où que vous soyez, la mort vous atteindra, fussiez-vous dans des tours imprenables… » (Sourate an-Nisa: 78).

Comme le dit notre Prophète Mohammed (sallAllahou ‘alayhi wa salam), le meilleur moyen de se prémunir contre le durcissement du cœur et d’atteindre la piété est de se rappeler souvent la mort.
« Vos cœurs deviennent rouillés comme le fer touché par l’eau ». On lui demanda comment les nettoyer. Il répondit: « En se rappelant souvent de la mort et en récitant souvent le Coran ». (al-Tirmidhi, 673).

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