La star du Web, Jérôme Jarre a encore frappé. Véritable idole des internautes, ce français de 27 ans, dont la générosité n’a aucune limite, a su prouver qu’avec peu de moyens on peut déplacer des montagnes. Des montagnes de nourriture destinée aux peuples qui meurent de faim.
Sa notoriété, Jérôme Jarre l’a mise à profit non pas pour faire fortune mais pour aider les plus nécessiteux, les oubliés de ce monde qui n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. Depuis qu’il a réussi à réunir la somme de 2 millions de dollars avec un seul tweet, le généreux français est parti en Somalie répandre un peu de bonheur parmi la population. Depuis, il ne cesse de nous faire parvenir des vidéos le montrant avec des petits somaliens le sourire aux lèvres, des images rares qui démontrent qu’avec un peu de volonté et de temps, on trouve toujours des solutions.
Jérôme Jarre a réussi là où tous les autres ont lamentablement échoué. Grâce au soutien de ses nombreux fans anonymes et célèbres, le jeune français n’a pas eu besoin de mendier pour obtenir des subventions, il a suffi d’un seul tweet et l’aventure a démarré.
Dans son avant-dernier message, on le voyait entouré par plusieurs enfants qui lui apprenaient quelques mots en Arabe et lui le sourire aux lèvres s’interrogeait de savoir s’il pouvait devenir somalien ?
Aujourd’hui, Jérôme nous revient plus en forme que jamais et il semble évident que contrairement à certains, il ne passe pas beaucoup de temps devant son écran de télévision à broyer du musulman matin midi et soir. Car après nous avoir offert de belles images destinées à montrer le côté positif de la Somalie, loin de la misère en mettant en évidence les coutumes du pays où la majorité de la population est musulmane, il envoie aujourd’hui un message destiné à tous ceux qui critiquent l’Islam.
Il s’est filmé en train de réciter la Al-Fatiha, le premier verset du Coran et en a profité pour déclarer : « Plus j’en apprends sur l’Islam, plus je trouve paix, amour, valeurs et respect dans cette religion. Bismillah ».
Voilà qui devrait en clouer le bec à plus d’un.